Lauriers du Journalisme d’Impact (LJI) 2e édition

Lumen Media Group, 9 février 2019

Les meilleurs journalistes togolais de la télévision, de la radio et de la presse en ligne de l’année précédente seront connus en mai prochain, dans le cadre du concours ‘’Lauriers du Journalisme d’Impact’’ (LJI).

C’est une initiative qui est portée par les Ambassades des Etats-Unis et de la France au Togo, le Programme des Nations-Unies pour le Développement (PNUD) auxquels s’ajoute l’Institut des Sciences de l’Information, de la Communication et des Arts (ISICA). Elle a été officiellement lancée le 6 février 2019 par le vice-président de la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication (HAAC), Octave Olympio. C’était en présence de David Glimour, l’Ambassadeur des Etats-Unis au Togo.

Selon monsieur Glimour, le concours ‘’les Lauriers du Journalisme d’Impact’’ (LJI) récompense depuis 2018 au Togo le meilleur travail journalistique et incite les journalistes à la qualité professionnelle.

« Ce concours témoigne de l’importance que nous accordons au journalisme indépendant et libre au Togo. Mais ce pouvoir de la presse s’accompagne des valeurs comme l’exactitude, l’objectivité, l’éthique et la responsabilité », a-t-il déclaré.

Ouvert à tout journaliste exerçant depuis 2 ans, ce concours  démarrera le 11 février 2019 et prendra fin le 11 mars prochain. Les productions sont à soumettre sur le site www.lji-togo.com dans 4 catégories à savoir la ‘’télévision’’, la ‘’radiodiffusion’’,  la ‘’presse  écrite ‘’ et la ‘’presse en ligne’’.

Pour cette édition, ne sont recevables que les productions journalistiques publiées ou diffusées entre le 1^er février 2018 et le 1^er février 2019. Sont  donc récompensées, les 5 meilleures productions de chaque catégorie.

« C’est une initiative bien pensée destinée à encourager la presse togolaise vers une pratique quotidienne équilibrée et professionnelle », a apprécié le représentant de la HAAC à la cérémonie de lancement.

Pour lui, le journalisme d’impact est défini comme un journalisme de ‘’ solution’’ ou ‘’constructif’’ qui  selon lui s’inspire de l’investigation autour de problèmes du monde, qu’ils soient politiques, économiques, sociaux ou environnementaux, pour rechercher des solutions innovantes, viables pour toute l’humanité.

Matthieu BIDA