L’AET désire rapprocher la littérature des jeunes élèves en milieu scolaire

Lumen Media Group, 12 novembre 2018

Dans le cadre de la célébration de la Journée Internationale de l’Écrivain Africain, l’Association des Écrivains du Togo (AET) a organisé une journée de sensibilisation et d’échanges avec les élèves des établissements publics. Les échanges ont tourné autour des œuvres de deux auteurs togolais : Renaud DOSSAVI, lauréat du prix France-Togo 2018 et Eristo Samael.

La Journée Internationale de l’Ecrivain Africain a été instaurée depuis 1992 par l’Association des Écrivains Panafricains dont l’AET est membre.

Cette rencontre qui a connu la participation des écrivains comme Eristo Samael, Mme Syliadin, Mme Anaté KOUMEALO et autres a pour but de rendre hommage aux auteurs togolais disparus, de sensibiliser les apprenants sur l’importance de la littérature et de rapprocher la littérature du jeune public.

« C’est une opportunité pour rendre hommage aux écrivains et écrivaines qui nous ont déjà quittés et qui ont marqués notre société de leur plume. Il s’agit aussi de rapprocher la littérature du jeune public que sont les élèves », a déclaré Mme Anaté KOUMEALO, présidente de l’AET  et  ancienne ministre de la communication  du Togo.

D’après l’écrivain Eristo Samael, cette journée a permis de partager notre expérience avec les jeunes et de faire des plaidoyers en faveur de la littérature togolaise auprès des institutions nationales et internationales.

« Il a été question de partager notre expérience avec les jeunes et leur parler des difficultés… C’est une aussi journée de faire des plaidoyers auprès des institutions nationales et internationales pour un appui à la littérature togolaise », a indiqué monsieur Eristo.

Il faut rappeler qu’au cours de cette rencontre divers sujets liés aux problématiques de l’écriture au Togo ont été abordés, en collaboration avec d’autres associations d’écrivains. La nuit des auteurs fait partie des autres activités inscrites au plan d’action du nouveau bureau de l’AET récemment élu.

Matthieu BIDA